Un nouveau palier a été franchi dans le bras de fer qui oppose les étudiants en médecine et en pharmacie aux ministères de tutelle. Très déterminés, les étudiants ont annoncé l’organisation d’une marche nationale le 25 avril sous le signe «La marche de la résistance». Un slogan fort en sens qui n’augure rien de bon pour la suite et qui, sauf décision-surprise, mènera vers une année universitaire blanche.
Ce constat est partagé par Said Motaouakkil, professeur universitaire et ancien directeur de la Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca, invité de «L’Info en Face». «Le constat, c'est que le bras de fer dure. Cette grève illimitée déclarée par les étudiants dure encore malheureusement. Malgré les tentatives de dialogue, nous constatons qu'il y a un blocage et même une radicalisation des positions», déplore l’invité. Il va même plus loin en expliquant qu’à ce jour, il n’y a pas eu de médiation pour ouvrir un vrai dialogue entre les deux parties. «Il y a eu des tentatives de médiations par certaines organisations. Les étudiants se sont adressés à certaines organisations...
Ce constat est partagé par Said Motaouakkil, professeur universitaire et ancien directeur de la Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca, invité de «L’Info en Face». «Le constat, c'est que le bras de fer dure. Cette grève illimitée déclarée par les étudiants dure encore malheureusement. Malgré les tentatives de dialogue, nous constatons qu'il y a un blocage et même une radicalisation des positions», déplore l’invité. Il va même plus loin en expliquant qu’à ce jour, il n’y a pas eu de médiation pour ouvrir un vrai dialogue entre les deux parties. «Il y a eu des tentatives de médiations par certaines organisations. Les étudiants se sont adressés à certaines organisations...
Mots Clés : Grève des étudiants , Dialogue rompu , Année blanche , Perturbations , Étudiants en médecine et pharmacie , Marche de la résistance , Bras de fer , Radicalisation des positions.